Dernière édition le : janvier 5th, 2022.
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Bonne année 2022 !

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Sup’Recherche-UNSA vous présente tous ses bons voeux en ce début d’année 2022.

Durant toute l’année année 2021, perturbée par la crise sanitaire, notre action a été soutenue. Fidèles à notre syndicalisme de proposition, nous avons travaillé à l’amélioration des textes concernant les avancées que nous avons obtenues :

  • la revalorisation du régime indemnitaire des chercheurs et enseignants-chercheurs*
  • les 2000 possibilités supplémentaires d’accès au corps des Professeur des Universités
  • le fait que plus aucun chercheur ou enseignant-chercheur ne soit rémunéré en dessous de 2 SMIC
  • les 10 000 € pour accompagner les travaux de recherche des Maîtres de Conférences et chercheurs nouvellement recruté.

Les textes règlementaires sont parus, les financerments ont été notifiés, rien ne s’oppose donc plus à leur mise en œuvre. Sup’Recherche – UNSA sera attentif à ce que les engagements ministériels soient respectés localement. Il ne faut pas que sous prétexte d’autonomie les établissements soient moins disant.

L’année 2022 sera celle des élections présidentielles. Nous attendons du futur gouvernement une meilleure prise en compte des corps intermédiaires.

Pour Sup’Recherche – UNSA notre société est constituée de femmes et d’hommes qui ont, par principe, la même capacité à réfléchir, débattre et agir collectivement. La démocratie n’est donc pas d’abord un système politique mais une manière de vivre ensemble. Notre société n’est pas constituée de certains qui décident pour d’autres qui ne seraient “rien”. Les établissements d’enseignement supérieur ont un rôle à jouer en permettant aux jeunes de s’émanciper, d’acquérir des connaissances et de développer leur esprit critique et en offrant aux citoyens la possibilité de se former tout au long de la vie. Tout cela serait impossible si une politique libérale venait à pousser de plus en plus loin une logique de marchandisation utilitariste des formations.

Les programmes des candidat.e.s à l’élection présidentielle doivent donc prévoir un investissement rapide et massif dans un service public d’Etat de l’enseignement supérieur et de la recherche afin de rattraper le retard accumulé.