AU CSA DU 1er avril , la mobilité en queue de poisson ?

Lors du Comité social d’administration de l’enseignement supérieur ce premier avril , il était présenté un bilan obligatoire des lignes directrices de gestion ministérielles relatives à la mobilité des personnels pour l’année 2023.

Le bilan n’est pas reluisant. Il en ressort un faible taux de mobilité externe dans nos corps malgré une augmentation des demandes, notamment au titre du rapprochement de conjoints.

SUP’Recherche UNSA rappelle qu’il porte dans ses mandats l’instauration d’un mouvement spécifique pour les mutations,  conditions de la qualité de vie au travail et de l’attractivité de nos carrières !




CSA du MESR : Sup’ Recherche-UNSA défend le dialogue syndical et les personnels !

Le 12 novembre dernier, Sup’ Recherche -UNSA a promu plusieurs avis adoptés par l’instance. 

Outre la dénonciation des annulations successives du CSA dans le courant de l’année passée, qui confinent à l’entrave, Sup’ Recherche-UNSA a été particulièrement vigilant quant à la situation des enseignantes et enseignants du supérieur et des maitresses et maitres de Conférences  

Nous avons réitéré notre demande d’alignement du montant de la PES que touchent les enseignants du supérieur, sur celui de la composante C1 du RIPEC des enseignants-chercheurs, et l’intégration des différentes primes statutaires dans la rémunération indiciaire des agents ;

Nous avons aussi porté une demande de relèvement du taux d’avancement à la hors-classe des MCF en 2025, au niveau des corps d’enseignants soit 23 %, alors qu’il est prévu une baisse à 10 %, comme en 2024, ce qui obère lourdement les carrières des E-C et pèsera dans le détournement des jeunes de ce métier. 

L’attractivité de nos métiers est en baisse, 

 Il importe de ne pas décourager nos collègues
et de ne laisser personne au bord du chemin.